Le 28 juillet 2009,
Le velours des vins de Constance !
Vous êtes cordialement invités à une dégustation verticale et informelle des VINS DE CONSTANCE, ce vin célébrissime de Klein Constantia le plus célèbre des vignobles sud africains.
Des millésimes 1986, 1991, 92, 93, 94, 95, 96, 97 ,98, 99 2000, 2001, 02, 04 seront dégustés et commentés par Monsieur Lowell Jooste, le propriétaire de ce vignoble, de passage en Amérique du Nord pour la première fois.
L’évènement a eu lieu le 16 juillet à 15 heures. Houlala, un 16 juillet juste avant les grandes vacances par surcroit en après-midi !
En arrivant à l’heure pile, je me suis retrouvé face à face avec Lowell lui-même. Après les présentations d’usage, nous nous sommes entretenus sur sa première présence au Québec, afin de lui éviter d’avoir à répéter une dizaine de fois sa présentation à mes collègues, lesquels rentraient au fur et à mesure.
Sur la table, les 12 millésimes alignés languissaient prêts à être déguster par toute la presse spécialisée, d’ailleurs très heureuse de se retrouver pour ce moment historique.
L’Afrique du Sud, était auparavant bloquée par pratiquement toute la planète, dû à leur politique de l’Apartheid.
Lowell Jooste et son père ont débuté leur première production de ce réputé vin liquoreux en 1986. La première année, ils n’ont vendu aucune bouteille, se contentant d’en offrir à leurs amis triés sur le volet. Parmi ces privilégiés, Patricia Fraser de l’agence DBV qui avait gardé cette bouteille jusqu’à aujourd’hui. !
Déjà tous fébriles à l’idée de débuter cette dégustation, nous l’étions d’autant plus suite aux explications historiques de ce propriétaire. Ce passionné avait jumelé sa visite auprès de la SAQ, et ses vacances avec sa famille de 4 enfants à Montréal.
Dès le premier verre du 2004, nous avons su que cela allait être une dégustation extraordinaire qui nous transporterait dans le temps jusqu’en 1986, ma seule crainte était que ces vins me tombent sur le cœur !
Croyez-le ou non, nous étions à la moitié de la dégustation, lorsque nous nous sommes rendus compte que cette rafraichissante acidité en fin de bouche, nous incitait à continuer la dégustation sans se sentir mal…Et entre nous, ce n’est pas facile de cracher, lorsque l’on déguste des vins de cette trempe qui n’ont , à mon avis, de comparaison, que le velours.
Selon Lowell, cette acidité est la résultante des sols du terroir Sud Africain.
Pour comprendre toute l’importance de la qualité de ces vins, je vous suggère de cliquer sur le blogue de Marie-France.
Légende de cette photo: Hélène Dion, sommelière Conseil et journaliste du Courrier de St-Hyacinthe et Lowell Jooste propriétaire de ce réputé vignoble.
En attendant la chronique d’Hélène Dion qui était également présente à cette divine dégustation, je vous invite à consulter «youtube» afin de vous gaver des paysages paradisiaques de ce coin de la planète.
Michel Roux Jr. Propriétaire du réputé restaurant Le Gavroche de Londres, a même édité un livre de recettes faites à base de ce nectar.
Pour ma part, je trouvais qu’au nez ces vins avaient un parfum de muscat. Ils étaient longs en bouche, sans aucune agressivité, avec des goûts de fruits (pêches, figues) dépendamment des millésimes.
Détail surprenant, la maison a conservé le même type de bouteille…de 500 ml. Cette forme caractérisant surtout les bouteilles de porto.
Une fois ouvert, vous pouvez garder la bouteille deux mois dans le frigidaire !
À 61.75$ la bouteille, c’est une aubaine !
D’ailleurs ils sont tellement connus par les amateurs, que les stocks s’écoulent en maximum trois semaines dans les succursales des SAQ.
Samy Rabbat
Le velours des vins de Constance !
Vous êtes cordialement invités à une dégustation verticale et informelle des VINS DE CONSTANCE, ce vin célébrissime de Klein Constantia le plus célèbre des vignobles sud africains.
Des millésimes 1986, 1991, 92, 93, 94, 95, 96, 97 ,98, 99 2000, 2001, 02, 04 seront dégustés et commentés par Monsieur Lowell Jooste, le propriétaire de ce vignoble, de passage en Amérique du Nord pour la première fois.
L’évènement a eu lieu le 16 juillet à 15 heures. Houlala, un 16 juillet juste avant les grandes vacances par surcroit en après-midi !
En arrivant à l’heure pile, je me suis retrouvé face à face avec Lowell lui-même. Après les présentations d’usage, nous nous sommes entretenus sur sa première présence au Québec, afin de lui éviter d’avoir à répéter une dizaine de fois sa présentation à mes collègues, lesquels rentraient au fur et à mesure.
Sur la table, les 12 millésimes alignés languissaient prêts à être déguster par toute la presse spécialisée, d’ailleurs très heureuse de se retrouver pour ce moment historique.
L’Afrique du Sud, était auparavant bloquée par pratiquement toute la planète, dû à leur politique de l’Apartheid.
Lowell Jooste et son père ont débuté leur première production de ce réputé vin liquoreux en 1986. La première année, ils n’ont vendu aucune bouteille, se contentant d’en offrir à leurs amis triés sur le volet. Parmi ces privilégiés, Patricia Fraser de l’agence DBV qui avait gardé cette bouteille jusqu’à aujourd’hui. !
Déjà tous fébriles à l’idée de débuter cette dégustation, nous l’étions d’autant plus suite aux explications historiques de ce propriétaire. Ce passionné avait jumelé sa visite auprès de la SAQ, et ses vacances avec sa famille de 4 enfants à Montréal.
Dès le premier verre du 2004, nous avons su que cela allait être une dégustation extraordinaire qui nous transporterait dans le temps jusqu’en 1986, ma seule crainte était que ces vins me tombent sur le cœur !
Croyez-le ou non, nous étions à la moitié de la dégustation, lorsque nous nous sommes rendus compte que cette rafraichissante acidité en fin de bouche, nous incitait à continuer la dégustation sans se sentir mal…Et entre nous, ce n’est pas facile de cracher, lorsque l’on déguste des vins de cette trempe qui n’ont , à mon avis, de comparaison, que le velours.
Selon Lowell, cette acidité est la résultante des sols du terroir Sud Africain.
Pour comprendre toute l’importance de la qualité de ces vins, je vous suggère de cliquer sur le blogue de Marie-France.
Légende de cette photo: Hélène Dion, sommelière Conseil et journaliste du Courrier de St-Hyacinthe et Lowell Jooste propriétaire de ce réputé vignoble.
En attendant la chronique d’Hélène Dion qui était également présente à cette divine dégustation, je vous invite à consulter «youtube» afin de vous gaver des paysages paradisiaques de ce coin de la planète.
Michel Roux Jr. Propriétaire du réputé restaurant Le Gavroche de Londres, a même édité un livre de recettes faites à base de ce nectar.
Pour ma part, je trouvais qu’au nez ces vins avaient un parfum de muscat. Ils étaient longs en bouche, sans aucune agressivité, avec des goûts de fruits (pêches, figues) dépendamment des millésimes.
Détail surprenant, la maison a conservé le même type de bouteille…de 500 ml. Cette forme caractérisant surtout les bouteilles de porto.
Une fois ouvert, vous pouvez garder la bouteille deux mois dans le frigidaire !
À 61.75$ la bouteille, c’est une aubaine !
D’ailleurs ils sont tellement connus par les amateurs, que les stocks s’écoulent en maximum trois semaines dans les succursales des SAQ.
Samy Rabbat
Absolut Canada, édition limitée
ABSOLUT VODKA est célèbre pour ses bouteilles de collection à tirage limité. Elle vient de lancer la bouteille Absolut Canada, Original Vodka, pour le 150e anniversaire de notre pays.
Vinexpo, un must
Vinexpo est la première mecque de tou(te)s les professionnel(le)s du domaine vinicole, quelque soit la filière dans laquelle ils(elles) oeuvrent au quotidien.
